Advitam s’est donné pour mission de rendre l’organisation des adieux plus douce, en proposant des obsèques entièrement personnalisables, en ligne, 30 % moins chères que les offres traditionnelles et assorties d’engagements environnementaux concrets.
Derrière cette promesse se cachait un défi de taille : casser les codes d’un secteur très réglementé, où la confiance repose encore largement sur la proximité physique, tout en soutenant une forte croissance nationale. Comment inspirer sérénité dans un moment aussi sensible, convaincre des publics parfois peu familiers du numérique et orchestrer une expérience fluide de bout en bout ?
Ce case study revient sur l’accompagnement que nous avons mené auprès d’Advitam. Vous découvrirez les choix, les leviers activés et les résultats obtenus, preuves qu’il est possible d’allier innovation, impact social et performance business dans l’un des secteurs les plus traditionnels qui soit.
Contexte & problématique
En avril 2024, Advitam nous sollicite avec un constat clair : le compte Google Ads tourne, mais la dynamique n’est plus là.
Les campagnes Search génèrent encore du trafic, mais les performances s’essoufflent. Le coût d’acquisition grimpe, les leads sont moins qualifiés, et surtout : difficile de savoir ce qui fonctionne ou non à l’échelle locale.
Dans un secteur comme le funéraire, le contexte géographique joue un rôle central. C’est un métier de proximité, où la pertinence dépend autant du message que du lieu où il est diffusé.
Diagnostic
On est probablement face à un bug ou une pénalité algorithmique. Difficile à prouver, mais les signaux sont clairs :
- Tout fonctionnait correctement jusqu’à un point de rupture brutal,
- Aucun changement majeur côté structure ou budget ne l’explique,
- Même des campagnes propres, testées après coup, peinent à décoller.
On fait alors un choix méthodique : repartir sur des bases saines, en travaillant la donnée et la lisibilité du compte.
Les deux chantiers prioritaires
1. Réinjecter des signaux business fiables dans le compte
- Connexion des conversions offline (devis, CRM, appels >60s)
- Nettoyage des événements inutiles ou non pertinents
- Ajout de micro-conversions intelligentes (clics CTA, scrolls formulaires…)
L’objectif : nourrir l’algo avec ce qui compte vraiment.
2. Restructurer le compte pour en faire un écosystème pilotable
- Refonte complète des campagnes : exit les campagnes trop génériques
- Allègement des structures, simplification des signaux
- Redéploiement clair par typologie d’audience et objectif
Résultat ? Les PMAX démarrent fort.
En l’espace de quelques jours, les campagnes se remettent à délivrer. Le volume de leads repart à la hausse.
Leviers activés par la suite : un pilotage plus fin de PMAX
Puisque PMAX fonctionne, on ne se contente pas de “laisser faire l’algo”.
Phase 1 – PMAX régionale IDF
On commence par l’essentiel : tester le potentiel de PMAX sur le cœur de cible, l’Île-de-France.
Objectif : valider sa capacité à capter à la fois des signaux forts (appels, recherches locales) et faibles (clics, visites, formulaires) tout en maximisant la couverture.
✅ Résultat rapide : dès avril, on observe une baisse du CPC et un regain d’appels entrants qualifiés.
Mais ce format “IDF global” reste trop large : impossible d’identifier précisément quelles zones performent, ni où investir davantage.
Phase 2 – Structuration locale par département
La structure du compte était sensiblement la même qu’aujourd’hui, mais à partir d’avril, on recentre sur une logique départemental, plutôt que par ville : création de campagnes PMAX par département (92, 94, 77, etc.).
Chaque zone bénéficie de :
- sa propre campagne et budget,
- un suivi distinct (appels, devis, qualité),
- un pilotage affiné des exclusions et assets.
Ce découpage nous permet de lier données de performance & réalité terrain. On sait où ça convertit, et on sait pourquoi, sans se perdre dans une granularité trop fine par ville.
Résultats qualitatifs observés
Le changement de structure a transformé la lecture et les performances du compte :
- Reprise claire du volume d’appels >60s
- Hausse continue des devis transmis via le CRM
- Stabilisation du coût par lead, zone par zone
- Amélioration indirecte des performances de la campagne Marque (effet halo)
Mais surtout : le sentiment de reprendre la main sur un levier devenu opaque.
Ce qu’on retient
Ce n’est pas Performance Max qui a sauvé le compte. C’est la manière dont nous avons reconstruit son environnement. Et dans un environnement automatisé comme Google Ads aujourd’hui, ce sont les signaux que vous envoyez qui dictent tout.
Sur les 18 mois précédents, Advitam voyait son budget augmenter fortement, il s’est stabilisé depuis et les trous d’activités qu’ils avaient auparavant sont nettement plus rares.
✅ Une PMAX qui fonctionne mal peut redevenir performante si vous lui redonnez du contexte, de la structure et de la lisibilité.
Grâce à cette approche, Advitam a retrouvé :
- du contrôle sur sa diffusion,
- une visibilité claire de ses zones de performance,
- et une croissance rentable dans un environnement ultra-concurrentiel.
Et si vos campagnes étaient les prochaines ?
Les résultats obtenus avec Advitam illustrent ce qui fait la force de Donutz Digital : une approche data-driven, pragmatique et résolument humaine, capable de concilier automatisation et finesse locale. Que vous deviez :
- relancer un compte en perte de vitesse,
- débloquer la puissance de Google Ads,
- ou tout simplement trouver le mix d’acquisition qui soutiendra votre prochaine phase de croissance,
nous avons les méthodes, les outils et surtout l’exigence pour transformer vos objectifs en chiffres concrets.
Vous voulez voir jusqu’où on peut aller ensemble ? Parlons-en autour d’un donut (ou d’un visio) et dessinons la roadmap qui fera de vos métriques les prochains indicateurs au vert.
Chez Donutz Digital, chaque collaboration démarre par une question simple : qu’est-ce qui aura le plus d’impact pour vous, le plus vite ?
